La plupart des secteurs industriels ont subi
de grandes transformations au cours des trois dernières décennies, principalement en raison
des progrès technologiques. Peu d’entre eux, cependant, en ont vécu d’aussi radicales que l’industrie forestière.
Hi-Sky Enterprises, société forestière du nord-est de la Colombie-Britannique, a notamment été témoin de changements considérables depuis
sa fondation par Lorne Waldie, en 1980. Son fils Shayne s’est joint à l’entreprise en 1991 et en est maintenant le directeur de l’exploitation.
« Quand j’ai débuté, nous faisions tout à la main : l’abattage, le débusquage, le tronçonnage, se rappelle Shayne Waldie. Aujourd’hui, nous
ne traînons plus de scie à chaîne dans les bois; le travail se fait entièrement de façon mécanique sans intervention manuelle (ou si peu). À Hi-Sky, nous nous sommes bien adaptés au changement, et nous continuons d’explorer de nouvelles méthodes afin d’améliorer notre productivité et notre rentabilité. »
Il ne fait aucun doute que la mécanisation
du travail a décuplé la productivité de Hi-Sky. Shayne Waldie dit qu’à l’époque où tout se faisait manuellement, l’entreprise traitait environ de 80 000 à 100 000 mètres de bois par année. Aujourd’hui, on parle plutôt de 400 000 à 600 000 mètres par année.
« Bien sûr, produire davantage et produire de façon plus rentable n’est pas tout à fait la même chose. Pour obtenir un bon prix, nos scieries doivent générer des profits; mais en raison du ralentissement économique à l’échelle mondiale, elles ne produisent plus autant depuis un bon nombre d’années. Je crois que nous sommes tous confiants que le mouvement du balancier jouera en notre faveur, et que la reprise nous permettra d’en récolter les fruits. »
de grandes transformations au cours des trois dernières décennies, principalement en raison
des progrès technologiques. Peu d’entre eux, cependant, en ont vécu d’aussi radicales que l’industrie forestière.
Hi-Sky Enterprises, société forestière du nord-est de la Colombie-Britannique, a notamment été témoin de changements considérables depuis
sa fondation par Lorne Waldie, en 1980. Son fils Shayne s’est joint à l’entreprise en 1991 et en est maintenant le directeur de l’exploitation.
« Quand j’ai débuté, nous faisions tout à la main : l’abattage, le débusquage, le tronçonnage, se rappelle Shayne Waldie. Aujourd’hui, nous
ne traînons plus de scie à chaîne dans les bois; le travail se fait entièrement de façon mécanique sans intervention manuelle (ou si peu). À Hi-Sky, nous nous sommes bien adaptés au changement, et nous continuons d’explorer de nouvelles méthodes afin d’améliorer notre productivité et notre rentabilité. »
Il ne fait aucun doute que la mécanisation
du travail a décuplé la productivité de Hi-Sky. Shayne Waldie dit qu’à l’époque où tout se faisait manuellement, l’entreprise traitait environ de 80 000 à 100 000 mètres de bois par année. Aujourd’hui, on parle plutôt de 400 000 à 600 000 mètres par année.
« Bien sûr, produire davantage et produire de façon plus rentable n’est pas tout à fait la même chose. Pour obtenir un bon prix, nos scieries doivent générer des profits; mais en raison du ralentissement économique à l’échelle mondiale, elles ne produisent plus autant depuis un bon nombre d’années. Je crois que nous sommes tous confiants que le mouvement du balancier jouera en notre faveur, et que la reprise nous permettra d’en récolter les fruits. »